- En ligne sur Zoom
- Jeudi 10 juin à 18h30
- Myriam Omar Awadi, Eric Raisina et Em Riem, modéré par Julie Crenn
- En français
[Dans le cadre de l’exposition « Natte, Nappe, Mappe » et de la saison culturelle sur le textile, la création et l’innovation]
Plongez dans l’univers de notre exposition « Natte, Nappe, Mappe » avec notre webinaire « Au fil des idées » et venez à la rencontre des artistes exposés dans la galerie. Pendant une heure, Myriam Omar Awadi, Eric Raisina et Em Riem discuteront des fils qui nous unissent, d’hier et d’aujourd’hui, et de leur pratique artistique. Une conversation animée par Julie Crenn, critique et historienne de l’art.
Pour voir la conférence 👉 cliquez ici !
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Julie Crenn est historienne de l’art, critique d’art (AICA) et commissaire d’exposition indépendante. Depuis 2018, elle est commissaire associée à la programmation du Transpalette – Centre d’art contemporain de Bourges.
Myriam Omar Awadi est née en 1983 à Paris. Artiste franco-comorienne, elle vit et travaille à la Réunion. Depuis 2013, elle enseigne les pratiques performatives à l’École supérieure d’art de La Réunion. Fondatrice du laboratoire Paroles Paroles porté en collaboration avec l’artiste Yohann Quëland de Saint-Pern, elle travaille également dans le spectacle vivant en tant que scénographe et conceptrice lumière.
Eric Raisina est né à Madagascar, l’Île rouge, source de son inspiration et de son goût pour le mariage des couleurs, et vit au Cambodge depuis vingt ans. Ce pays de cœur lui a permis de découvrir et de perfectionner ses techniques de tissage. La rencontre des cultures l’a conduit, comme dans la fabrication d’un tissu, à ce métissage de l’inspiration, au croisement des savoir-faire.
Em Riem est né en 1971 dans la province de Kandal. Diplômé de l’Université Royale des Beaux-Arts du Cambodge, il a réalisé de brillantes études en France, et est revenu à Phnom Penh où il a ouvert la Gallery X-em Design, où il expose ses œuvres ainsi que celles d’autres artistes. Par l’utilisation de matériaux locaux, il questionne la relation entre l’homme et la nature, interroge la mémoire du génocide cambodgien et l’héritage de la civilisation angkorienne.
